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Différents types de plus lourds que l’air.

Les appareil; volants plus lourds que l’air, englobés 50U8 te nom barbare
e Aérodyncs s possèdent tous des surfaces sustentatrices qui, du fait dc leur déplacement dans l’air, sont soumises dc la part dc celui-ci à des réactions dont résultante s une composante verticale qui leur permet de se maintenir dans l’espace. il y a différentes esp&es dc machines votantes qui diflêrent entre elles parprincipe dc déplacement de ces surfaces sustentatrices.

Les avions et les hydravions ont des ailes fixes par rapport à l’ensemble de
machine. Lorsque l’avion se déplace dans l’air sous l’action de ses propuiscurs
de la pesanteur (cas de la descente planée), les ailes sont soumises à un mouvement dc translation par rapport à l’air do( résultert les réactions sustcntatrices.
Au contraire, dans les hélicopt&es ou tes autogires, les voilures sont lxées
l’appareil par l’intermédiaire d’un axe autour duquel elles sont entrairn$es dans
mouvement de rotation. Dans les hclicoptèrcs b rotation des voilures est engendréc directement par le ou les moteurs, en sorte que ces machines peuvent se tenir immobiles dans l’espace sous l’effet des réactions de l’air sur tes voilures tournantes, alors que pour les autogires c’est le déplacement (horizontal ou verti al) dc la machine qui engendre leur rotation et donc la switentatson.
Les noms d’orthoptres et ornithophile&res sont réservés à des appareils à ailes battantes, qui n’ont pas dépassé le stade des titonnements et ne paraissent pas être appelés à un avenir pratique quelconque.
En fait, les plus employées des machines plus lourdes que l’air sont celles à voilure fixe : avions et hydravions.
Le présent ouvrage commencera donc par cc type d’appareil. Le Chapitre X donnera un aperçu sur quelques aérodyncs sp&iaux. et notamment ceux à voilures tournantes, qui progressent sérieusement dans divers pays et qu’on ne saurait négliger désormais.

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