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Théorie des détecteurs de métaux

Tout d’ab ord, notre première découverte fut que l’ appellation populaire « radar » est impropre, et ne reflète pas la réalité technique, puisque ces appareils placés aux feux rouges sont en définitive des détecteurs électro magnétiques .
En effet, un radar, à l’instar des chauves - souris ou des dauphins, émet une onde, puis récupère le signal réfléchi par un éventuel obstacle, et permet ainsi decalculer la distance entre eux . Par ailleurs, s i l ’objet détecté est en mouvement, l’effet D oppler , utilisé par les radars aux bords des routes , permet de co nnaître sa vitesse.
En revanche, u n détecteur de franchissement de feu rouge utilise deux bobines 3 placées dans la chaussée, l’une avant et l’autre après le feu. Si une seule serait , en théorie, nécessaire, la redondance permet d’ô ter tout doute quant au franchissement réel de la ligne du feu rouge par une voiture.
Un détecteur de franchissement de feu rouge ressemble en réalité à un double détecteur de métaux , chaque détection déclenchant une prise de photo. Pour détecter les métaux , il est possible d’ utiliser un champ magnétique variant dans le temps auquel les métaux . Le champ magnétique sera alors produit par une bobine parcourue par un courant alternatif. C’est le cas de la plupart des détecteurs du commerce, et ce sera le cas de notre montage. Chaque bobine est parcourue par un courant et produit un champ magnétique très régulier. Si une importante masse métallique (une voiture, par exemple) passe au - dessus de la bobine, le champ magnétique change.
Un détecteur de franchissement de feu rouge ressemble en réalité à un double détecteur de métaux , chaque détection déclenchant une prise de photo. Pour détecter les métaux , il est possible d’ utiliser un champ magnétique variant dans le temps auquel les métaux . Le champ magnétique sera alors produit par une bobine parcourue par un courant alternatif. C’est le cas de la plupart des détecteurs du commerce, et ce sera le cas de notre montage. Chaque bobine est parcourue par un courant et produit un champ magnétique très régulier. Si une importante masse métallique (une voiture, par exemple) passe au - dessus de la bobine, le champ magnétique change.
Un filtre passe - bande actif , utilisant en son s e in les deux bobines , est centré sur une fréquence qui varie en présence d’un métal. Il est alimenté par un générateur de signaux fournissant la fréquence c entrale du filtre sans métal. Ce montage fabrique le champ magnétique pulsé .
Tout élément métallique présent dans ce champ, modifie la valeur de l’inductance L des bobines et donc la fréquence centrale du filtre auquel elles appartiennen t : l a tension de s ortie du filtre diminue ainsi lors d’une détection. En effet, le métal a la faculté de conduire l’électricité.
 Le champ créé par la bobine peut induire des courants de Foucault dans les métaux, qui à leur tour créent des champs magnétiques induits. C’est c e phénomène qui modifie la fréquence de l’oscillateur.
On appelle courants de Foucault les courants électriques créés dans une masse conductrice, soit par la variation au cours du temps d'un champ magnétique extérieur traversant ce milieu, soit par un dépl acement de cette masse dans un champ magnétique constant.
 C’est la variation de fréquence de l’oscillateur qui est la première étape de la détection. Au centre d’une bobine, avec μ la perméabilité magnétique du milieu, I l’intensité traversant la bobine, R le rayon de la bo bine et N son nombre de spires, on obtient:
mouvement. Une force électromotrice est induite. La voiture produit alors un champ magnétique qui s’opp ose à celui qui lui a donné naissance (loi de Lenz). L’inductance L dans chacune de nos bobines est proportionnelle au champ B z au centre de la bobine. Si la voiture approche B z change donc L change. Le générateur de signaux fournissant alors un signal qui n’a plus la fréquence centrale du filtre, la tension de sortie du filtre diminue.

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